La réalisation réside dans la pratique.

Avoir dédié à l’idée de la mort toutes les heures qu’un métier auraient réclamées… Les débordements métaphysiques sont le propre des moines, des débauchés et des clochards. Un emploi eût fait de Bouddha même un simple mécontent.

Attache-toi au sage qui réprouve tes fautes.

L’homme qui s’attache à cueillir les plaisirs comme des fleurs, est saisi par la mort qui l’emportera comme un torrent débordé emporte un village endormi.

Celui qui, après avoir été négligent, devient vigilant, illumine la terre comme la lune émergeant des nuées.

Toute conquête engendre la haine, car le vaincu demeure dans la misère. Celui qui se tient paisible, ayant abandonné toute idée de victoire ou de défaite, se maintient heureux.

Ne demeure pas dans le passé, ne rêve pas du futur, concentre ton esprit sur le moment présent.

Pureté et impureté sont personnelles, nul ne peut purifier autrui.

Un sot a beau demeurer des années en contact avec la science, il ne connaîtra pas plus le goût de la science que la cuiller plongée dans la sauce ne connaît le goût de la sauce.

Deux choses participent de la connaissance : le silence tranquille et l’intériorité.

De celui qui dans la bataille a vaincu mille milliers d’hommes et de celui qui s’est vaincu lui-même, c’est ce dernier qui est le plus grand vainqueur.

Doutez de tout et surtout de ce que je vais vous dire.

Celui qui, après avoir été négligent, devient vigilant, illumine la terre comme la lune émergeant des nuées.

Faciles à voir sont les fautes d’autrui ; celles du soi sont difficiles à voir.

Une conscience troublée par les désirs ne peut se libérer.
Une sagesse troublée par l’ignorance ne peut se développer.

C’est une perle rare en ce monde que d’avoir un coeur sans désir.

Avec nos pensées, nous créons le monde.

Ne demeure pas dans le passé, ne rêve pas du futur, concentre ton esprit sur le moment présent.

Sous le ciel, il n’y a rien qui soit stable, rien qui ne dure à jamais.

Si la haine répond à la haine, comment la haine finira-t-elle?

Il y a quatre pensées illimitées : l’amour, la compassion, la joie et l’égalité d’âme.

Pureté et impureté sont personnelles, nul ne peut purifier autrui.

Par soi-même, en vérité, est fait le mal.

Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde.

Celui qui est le maître de lui-même est plus grand que celui qui est le maître du monde.

Entre le ciel et la terre, il n’y a qu’une demeure temporaire.

Doutez de tout et surtout de ce que je vais vous dire.

Vivons donc heureusement, sans haïr ceux qui nous haïssent.

Attache-toi au sage qui réprouve tes fautes.

Soyez à vous-même votre propre flambeau.